On dit que son bureau illustre ce qu’on a dans la tête. Ca m'a toujours fait culpabiliser... Dans le Libé d’aujourd’hui Eric Abrahamson vante - enfin - les mérites du désordre. Parmi ses nombreux arguments, ranger prend du temps. On peut se pâmer devant un bureau impeccable (quel ordre, quel rigueur) mais à l’inverse on peut se demander quand son propriétaire a trouvé le temps de travailler tant il en a passé à ordonner. Le désordre serait aussi source de créativité, car il permet de mettre en relation des éléments peu susceptibles de se rencontrer dans un monde trop organisé. Par ailleurs il avance que les bordéliques seraient souvent plus ouverts aux nouvelles expériences. Ca, ça se discute mais ça m’arrange. Sur ce Abrahamson se vante « personnellement, j’ai atteint un stade de désorganisation optimale ». C’est tout à fait ça ! Abrahamson, mon héros…
lundi 3 mars 2008
DESORDRES
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