Allo Aki ? ça va ?
Naaaaannnnn...bouhouhouuououou….suis à la maison, en congés « maladie d’amour ». Shinji m’a larguée…
C’est ce que nous pourrons peut-être entendre un jour en France. Et c’est ce qui se passe actuellement au pays du soleil levant. Avant-hier matin sur France Info : une société japonaise, Hime & Company, vient de proposer d’instaurer 2 ou 3 jours de congés pour se remettre d’une rupture amoureuse.
Pfffffff… moi je trouve ça trop naze. Rompre dans de bonnes conditions c’est comme accoucher sans douleur. Une rupture amoureuse ça se vit ça se tord ça se souffre, sinon ça n’a plus d’intérêt. L’important c’est l’humiliation, l’annonce aux collègues, les pleurs sur le clavier, les yeux gonflés en réu. Enfin ça parait loufoque, mais c’est juste japonais. Rappelons quand même que les nippons sont le plus souvent mariés à leur entreprise, et les jours de rupture avec son amant, c’est encore à négocier…
vendredi 1 février 2008
MALADIE D'AMOUR
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2 commentaires:
l'histoire ne dit pas si on peut bénéficier d'un congé quand on est du côté de celui (ou celle) qui provoque la rupture...c'est parfois éprouvant toutes ces jérémiades et larmes à supporter, what do you think?
celui qui provoque la rupture a toujours tort.... cf mon billet sur la crise du logement!
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